Synopsis: Dans ce second volet de la saga épique LE LABYRINTHE , Thomas (Dylan O’Brien) et les autres Blocards vont devoir faire face à leur plus grand défi : rechercher des indices à propos de la mystérieuse et puissante organisation connue sous le nom de WICKED. Or le monde qu’ils découvrent à l’extérieur du Labyrinthe a été ravagé par l’Apocalypse. Leur périple les amène à la Terre Brûlée, un paysage de désolation rempli d’obstacles inimaginables. Plus de gouvernement, plus d’ordre… et des hordes de gens en proie à une folie meurtrière qui errent dans les villes en ruine. Les Blocards vont devoir unir leurs forces avec d’autres combattants pour pouvoir affronter WICKED et tenter de défier son immense pouvoir.

Perdue dans Le Labyrinthe…

De prime abord, je n’avais pas du tout été tentée par Le Labyrinthe, que ce soit le livre ou le film, dont j’avais tranquillement snobé la sortie, sans me douter de ce que je ratais… Puis, assez récemment finalement, j’ai mis le blu-ray dans mon lecteur et là, c’en, fut fini de moi. J’ai depuis vu le film plusieurs fois, lu le livre de James Dashner, frétillé comme une collégienne en attendant la sortie du deuxième film et encore plus frétillé quand j’ai mis la main sur une avant-première… Autant vous dire que je suis soulagée de l’avoir ENFIN vu et que la phase d’attente du troisième film qui vient de commencer est assez dure à vivre (mais je survivrai: VIVE LES LIVRES).

La Terre Brûlée: l’enfer sur terre…

De par la fin du premier film, qui posait plus de questions qu’elle n’apportait de réponses, on entre assez vivement dans le vif du sujet avec celui-ci. Thomas et les “blocards” sont rapidement emmenés par leurs sauveurs, déplacés en un endroit qu’ils croient être un nouveau refuge. Mais vous vous doutez bien qu’il n’en est rien, et que ces jeunes gens n’ont pas fini d’en baver… Ils se retrouvent au milieu de paysages apocalyptiques, avec des dangers à tous les coins de buildings écroulés! J’ai trouvé le film rythmé, avec très peu de temps mort, juste assez pour reprendre mon souffle. Mes seuls bémols sont que par moments, on voit plus la réalisation que le récit (du genre: “ouhlalalalalala, attends tu vas voir, c’est LE plan parfait, il arrive, il arrive… IL EST LÀ!), mais là, je chipote peut-être un peu. Il manquait également par moments d’émotion: aux instants où logiquement, c’est ce qu’on attendrait (et c’est clairement ce que Wes Ball, le réal, aurait voulu faire passer), ça ne passe pas. On se retrouve à penser “Ah ouais, c’est triste”, mais en fait on s’en fiche un peu. Dommage. Ça n’enlève rien au fait que j’ai vraiment, vraiment beaucoup aimé. Je n’ai pas encore lu L’épreuve: La Terre brûlée (ça ne saurait tarder!) , donc je ne sais pas ce que vaut l’adaptation. Mais bon, un livre c’est un livre et un film c’est un film: j’ai lu Le Labyrinthe après l’avoir vu et malgré toutes les différences, l’histoire me plaît autant sur un support que sur l’autre.

Newt (Thomas Brodie-Sangster), mon chouchou…

En bref: Le Labyrinthe: la Terre Brûlée est un film d’action/science-fiction bien sympathique, et même si ces héros sont jeunes, ce n’est pas seulement un film pour ados, et ça, c’est appréciable!